Léonard a voulu faire une étude approfondi de l’oeil. Mais il n’eut pas le temps ni les moyens d’y arriver.
Pour étudier l’oeil, il utilisa une méthode. Elle consistait à faire bouillir l’oeil dans du blanc d’oeuf. Une fois ferme, on coupe l’oeil en deux. Cela permet de voir à l’intérieur de l’oeil en le laissant intacte.
Son étude de l’oeil est en partie incorrecte. Il imagine l’oeil en forme de sphère où le cristallin et le globe occulaire ont une centre commun.
Il décrit l’oeil avec le cristallin au centre et en forme de sphère. Cette erreur provient sans doute au fait que le cristallin a une forme ronde quand on le détache de l’oeil. Pour le savant, cette organe permet la mise en formation d’une image nette sur la rétine.
Léonard suppose aussi que la cornée est une sorte de lentille permettant la convergence des rayons lumineux. Il constate que la courbure de la cornée est lié au champ de vison. Il tente de vérifier ses suppositions en faisant des expériences. Vinci s’aperçut qu’au bord de la cornée, on ne distingue véritablement que le mouvement.
Il ne s’attarde pas longtemps sur l’uvée, il dit juste que ses pigments définissent la couleur des yeux.
De Vinci présente la sclère comme très résistante et blanche formant un coque, avec une courbure différente de la cornée. Elle recouvre tout l’oeil sauf à un endroit pour laisser passer le nerf optique. L’intérieur de la sclère est couvert de la chroroïde. Cette intérieur est remplie de vitré (masse visqueuse transparent de l’oeil qui maintient son volume) entourant le cristallin.
Léonard arriva à découvrir que la rétine est un tissu nerveux sensible à la lumière où convergent les rayons lumineux. Il ne découvre pas les multiples ramifications de la rétine. Il l’a décrit comme surface creuse blanc rougeatre. Il la situe à l’emergence du nerf optique.
Ce dernier, d’après Vinci, n’est pas un tube comme le pensait Claude Galien (médecin grec de l’antiquité). Il le décrit comme «plein», rectiligne sur l’axe de l’oeil, attaché aux méninges et se terminant derrière le cristallin. Après avoir entouré le nerf optique dans tout son chemin du cerveau à l’oeil, ces dernières se replient sur elles même pour recouvrir le globe occulaire. Ces notes sur le nerf optique sont strictement visuelles.
Le chiasma optique a été découvert en premier par Léonard. Il a selon lui 3 fonctions : unir l’image visualisée par les deux yeux pour éviter de voir double, permettre (en coordination avec d’autres organes) à l’oeil de bouger et le retournement de l’image inversée par stimulation du chiasma.
Son étude anatomique n’est donc pas exacte, nous allons donc la rectifier en apportant des précisions sur les différents organes. Tout d’abord le cristallin est derrière la pupille sur un côté et non au centre. De plus il a une forme ovale et non sphèrique. Vinci réussit quand même à découvrir sa fonction.
Sa suppostion sur la cornée est exacte. Cette organe est composé à 80% d’eau et ne contient pas de vaisseaux sanguins, c’est le plus fort dioptre (surface plane qui sépare de milieux transparents) de l’oeil.
L’uvée est l’enveloppe de l’oeil, consitué de la choroïde et de l’iris. C’est une partie pigmentaire de l’oeil.
La sclère, qu’il décrit brillament, recouvre les quatre cinquièmes du globe occulaire. C’est une membrane blanche très résistante et sert donc à la proteger les parties internes de l’oeil.
L‘un des grands mérites de Vinci est d’avoir su définir la fonction de la rétine. Les rayons lumineux convergent sur la rétine. Cet organe est constitué de neurones qui sont sensibles à la lumière et qui transmettent les informations au cerveau.
Léonard n’a pas réussi à trouver à quoi sert le nerf optique. Cet élément est le nerf sensoriel de la vue, il transmet les informations visuelles de l’oeil au cerveau.
Bien que l’ayant découvert le premier, Vinci a aussi trouvé en partie le rôle du chiasma optique. Les nerfs optiques se croisent au niveau du chiasma optique. Il permet de voir le relief et l’inversion des des images des deux rétines qui sont à l’envers permettant ainsi une vision dans le bon sens.
L’oeuvre anatomique de Léonard de Vinci sur l’oeil est un ensemble d’étude fondé sur la pertinence visuelle. Néanmoins il réussit tout de même à trouver beaucoup de chose sur l’oeil.
sérieux, c’est trop dur a comprendre.il faut mettre des choses accessible a tous et pas trop compliqué parce que moi, je suis adulte, et je n’ai rien compris.Sinon ça se voit que celui qui a fait le site il s’est bien défoncé parce qu’il explique plein de chose(même si s’est incompréhensible) , et qu’il est super passionner parce que quelqu’un qui s’en fout il aurai pas fait un truc aussi complé et compliquer.
voila…